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MAYLISA
a écrit : "Attention amigo : Prochaine canicule la semaine prochaine . Alors conseil : la tête à l'ombre et les pieds dans l'Eau :-)"
de l'EAU Ö embrun de lËÄÜ la pomme de pin se ferme Ä la glande pinéale du blues Ä la maison de jullouville de michel jonasz le joueurs blues de mon enfance
du blues Léon criait "Les imbéciles!" et Sarah Sarah " Mes enfants
Mes tout petits, mes gosses, mes fragiles
La table est mise, où sont-ils?" David le fils, ainsi
soit-il
Roi du royaume évidemment
A dans son coeur indélébile, la maison à Julouville.
France est la soeur de David et Simon la suivait tout le
temps
C'est l'ami, le presque frère, de David le solitaire.
Il en avait les yeux humides à la regarder si souvent
Ces trois-là faisaient la paire, partageaient bonheur et
misère
Est-ce qu'on s'aimait autre part autant qu'à Julouville sur
mer?
Quand la plage était à nous, quand ne rien faire avait du
goût
On regardait courir l'eau des nuages, le long des
gouttières
Le parquet ciré craquait, Sarah Sarah s'inquiétait
Les jours passés, des jours bleus, déjà les jours noirs
se profilent
L'un sans l'autre ne va pas et Sarah Sarah s'en va
Mais nos âmes sont éternelles, mon fils, ma fille, mon
fiancé
Tourne et tournera toujours, nos amitiés nos amours
On était heureux tranquilles, dans la maison à Julouville
Tenu par un fil serré, jamais, jamais séparé
Ces petits ces mômes si fragiles, c'est, Sarah Sarah, tes
enfants
Qui fera le petit déjeuner quand ils descendent l'escalier?
Dans les moments difficiles, à qui pleurer ses embêtements
Choses importantes ou futiles de la maison à Julouville?
Qu'est-ce qu'ils deviennent? Où sont-ils?
Sont-ils bien protégés du vent, des pluies fines du mois
d'avril
Des menteurs, des imbéciles, des heures tristes qui
défilent
Au quatorze juillet du temps?
Est-ce qu'on s'aimait autre part autant qu'à Julouville sur
mer?
Jamais, jamais séparés, jamais, jamais séparés.
pygrre35, Posté le jeudi 18 juillet 2019 15:25
MAYLISA a écrit : " "
de l'EAU Ö embrun de lËÄÜ la pomme de pin se ferme Ä la glande pinéale du blues Ä la maison de jullouville de michel jonasz le joueurs blues de mon enfance
du blues Léon criait "Les imbéciles!" et Sarah Sarah " Mes enfants
Mes tout petits, mes gosses, mes fragiles
La table est mise, où sont-ils?" David le fils, ainsi
soit-il
Roi du royaume évidemment
A dans son coeur indélébile, la maison à Julouville.
France est la soeur de David et Simon la suivait tout le
temps
C'est l'ami, le presque frère, de David le solitaire.
Il en avait les yeux humides à la regarder si souvent
Ces trois-là faisaient la paire, partageaient bonheur et
misère
Est-ce qu'on s'aimait autre part autant qu'à Julouville sur
mer?
Quand la plage était à nous, quand ne rien faire avait du
goût
On regardait courir l'eau des nuages, le long des
gouttières
Le parquet ciré craquait, Sarah Sarah s'inquiétait
Les jours passés, des jours bleus, déjà les jours noirs
se profilent
L'un sans l'autre ne va pas et Sarah Sarah s'en va
Mais nos âmes sont éternelles, mon fils, ma fille, mon
fiancé
Tourne et tournera toujours, nos amitiés nos amours
On était heureux tranquilles, dans la maison à Julouville
Tenu par un fil serré, jamais, jamais séparé
Ces petits ces mômes si fragiles, c'est, Sarah Sarah, tes
enfants
Qui fera le petit déjeuner quand ils descendent l'escalier?
Dans les moments difficiles, à qui pleurer ses embêtements
Choses importantes ou futiles de la maison à Julouville?
Qu'est-ce qu'ils deviennent? Où sont-ils?
Sont-ils bien protégés du vent, des pluies fines du mois
d'avril
Des menteurs, des imbéciles, des heures tristes qui
défilent
Au quatorze juillet du temps?
Est-ce qu'on s'aimait autre part autant qu'à Julouville sur
mer?
Jamais, jamais séparés, jamais, jamais séparés.